Claude Bréghot du Lut est né à Montluel (Ain), paroisse Saint-Étienne, le 11 octobre 1784, d’Antoine Joseph Bréghot du Lut (Montluel 1753-Beynost 1842) – licencié en droit de l’université de Valence, avocat au parlement de Dijon, receveur des fermes avant la Révolution, juge de paix à Montluel puis juge au tribunal de district à Bourg-en-Bresse –, et de Suzanne Péricaud (Lyon La Platière 1761-Beynost 1891), baptisé le 12 ; parrain : Claude Péricaud (Lyon La Platière 1751-guillotiné en 1793), oncle de l’enfant ; marraine : Anne Prost (née à Montluel en 1717, grand-mère de l’enfant), épouse de Me Gabriel Bréghot (Orléans 1712-Montluel 1785, avocat au parlement de Dijon, puis receveur des traites à Montluel ; celui-ci avait fait paraître quelques poésies dans l’Almanach des Muses.
La famille Bréghot, originaire du Puy-de-Dôme, s’était implantée à Montluel à la suite d’Antoine Bréghot (Thiers 1696-Celle-sur-Durolle 1755), sieur du Lut, nommé receveur des fermes à Montluel. Claude fait ses premières études au collège de Montluel, puis est envoyé à Lyon dans la pension Reydellet où il montre ses dispositions pour la poésie et la versification latine et française. On doit noter qu’au collège de Montluel il se lie d’amitié avec son cousin Antoine Pericaud*, qui deviendra son beau-frère, et il partagera avec lui le goût des études et de la publication. Dans la pension Reydellet, il reçoit les premières leçons de langue grecque de l’abbé Forestier, nom sous lequel se cache l’abbé Huot de Villers, grand vicaire de Mgr de Marbeuf, recherché comme prêtre réfractaire. Mais quelques années après, il a pour professeur un évêque schismatique grec qui remplissait les modestes fonctions de prote chez l’imprimeur Kindelem. Ensuite, il est inscrit à l’École centrale du département du Rhône où il suit les cours de législation de 1800 à 1802.
Agé de 16 ou 17 ans, et encouragé par ses succès scolaires, Bréghot du Lut avait commencé à publier. Il donne aux journaux lyonnais des imitations en vers d’épigrammes de Martial et de poètes grecs, sous le pseudonyme d’Isidore Fortis de Lyon. Chacun s’entend alors à reconnaître ses talents poétiques. Mais il se doit d’exercer un métier et, en 1805, il se fait inscrire au tableau des avocats. L’année suivante, il part se perfectionner à Paris comme secrétaire d’un de ses parents, Me Gairal, avocat. En 1807, il appartient à ce groupe de jeunes gens cultivés que le professeur Molard, leur maître, réunit un jour sous les frondaisons de l’Ile-Barbe, alors dévastée par la Révolution. Trop jeunes pour être nommés à l’académie de Lyon, ils décident de former un cénacle qui va devenir le Cercle littéraire. Bréghot en devient secrétaire de 1811 à 1815, puis vice-président en 1823 et 1832, enfin président en 1824, 1833 et 1838, tout cela en alternance avec son beau-frère Péricaud.
Le 17 janvier 1815, il épouse à Lyon Marie Rose Sophie Falsan, née à Lyon le 30 septembre 1796, fille de Claude François Falsan (Lyon, 1770-1839), négociant en soierie, chevalier de la Légion d’honneur, président du conseil municipal, et de Jeanne Marguerite Marie Maupetit (1763-1831), sœur du général d’Empire Pierre Maupetit (1772-1811) ; il est ainsi l’oncle d’Albert Falsan* et d’Ariste Potton*. Il habite alors place Saint-Jean. Mais son bonheur ne dure que neuf ans, avec le décès de Sophie en 1824. Dès lors, il cherche dans le travail la consolation de son veuvage.
L’année même de son mariage, quittant le barreau, il était entré dans la magistrature comme substitut du procureur du roi, puis vice-président du tribunal civil, et enfin conseiller à la cour royale.
C’est dans le domaine littéraire que Bréghot se fait surtout connaître. En 1824 il est l’un des fondateurs et des principaux rédacteurs des Archives historiques et statistiques du département du Rhône, ouvrage périodique paru de 1825 à 1831, auquel il donne plus de cinquante articles et en premier lieu des notices biographiques. En 1822, en effet, Nicolas Cochard* et Jean-Louis Coste* avaient proposé que la société historique « consacre ses travaux à la rédaction d’un grand ouvrage biographique sur les Lyonnais célèbres ». Dans l’attente de cet ouvrage, Bréghot du Lut et quelques autres rédigent des notices et les publient dans les Archives historiques. En 1839, lassé de ne pas avoir suscité un plus grand enthousiasme, aidé par son beau-frère Péricaud, il publie un Catalogue de Lyonnais dignes de mémoire, qui n’est autre que le répertoire des biographies qu’ils voudraient publier avec l’indication des sources.
Il profite de ses loisirs pour se rendre à Paris et en Provence afin de rencontrer des correspondants littéraires, dont son compatriote, le savant helléniste Dugas-Montbel*. Il a été comme son père conseiller municipal de Beynost.
Claude Bréghot du Lut est mort à son domicile, 5 rue Stella, le 30 novembre 1849 ; déclarants : Charles Eue, négociant, Pierre Duchamp, notaire rue Saint-Dominique. Il a été inhumé dans le caveau familial à Beynost.
De son mariage, il avait eu quatre enfants : Antoine Jean dit Désiré, époux de Mathilde Milanta (1831-1888) ; Claudine Suzanne dite Clotilde (1818-1871), épouse d’Eugène Charrin (1796-1872) ; Pierrette Anne, dite Anaïs (1820-1867), épouse de Victor Goullioud (1814-1874) ; et Marie Antoinette, dite Maria (1822-1906), célibataire. Les trois arrière-petit-fils qui portaient son nom – Gabriel (Caluire-et-Cuire 1890-Saint-Soupplets 1914), Joseph (Lyon 2 1891-Aix-Noulette 1915) et Jean (Lyon 1889-Sainte-Menehould 1916), petit-fils de Désiré – furent tués pendant la Grande Guerre. Pour éviter l’extinction du nom, Francisque Bréghot du Lut (1850-1925), fils aîné de Désiré, adopta des petits-neveux issus de la branche de Marie Antoinette Claire Émilie Bréghot du Lut (1888-1894), sœur de Gabriel et Joseph, et épouse de Bruno Marie Ennemond de Lambert. Sa postérité comptera plusieurs académiciens, tels que Paul Gouilloud* (1858-1940), fils de Victor et d’Anaïs, Joseph Lepercq* (1891-1978), et Camille Riboud* (par sa femme Hélène Frachon, descendante de Clotilde Charrin).
Admis le 4 décembre 1821 dans la section des belles lettres et arts, il y manifeste une grande assiduité. Il devient président au 2e semestre 1825. Secrétaire de la classe des Lettres depuis 1832, jusqu’à sa démission le 21 novembre 1842 pour raisons de santé et absences fréquentes de la ville. Membre émérite en 1845.
M. d’Aigueperse, Éloge historique de M. Claude Bréghot du Lut, conseiller à la Cour d’Appel de Lyon, et membre de plusieurs sociétés savantes : prononcé à la Société Littéraire de Lyon, le 6 février 1850, Lyon : Perrin, 1850. – ADR, Frecon, dossiers bleus. – Abbé Vachet, Nos Lyonnais d’autrefois, Lyon, s.d. – Mémorial de Lyon en 1793, t. XIV, familles Chardiny et Péricaud, Lyon 1998. – R. Saussac, Collèges de Lyon, Institut de Lyon, École centrale du département, Lyon : Les Traboules, 2004. – Léopold Niepce « Les bibliothèques de Lyon », RLY 19, 1875, p. 382-386. – Léopold Niepce, La Bibliothèque de C. Bréghot du Lut. (extr. RLY), Lyon : 1875. – Honoré Bonhomme, Péricaud et Bréghot du Lut, bibliophiles, Lyon : Vingtrinier, 1876. – Jean-Baptiste Dumas, Notice des ouvrages imprimes et manuscrits d’Antoine Péricaud aîné, bibliothécaire de la ville de Lyon, extraite du tome second de l’histoire de l’Académie de Lyon, Lyon : Barret, 1839.
Note sur la question de savoir si les Anciens connaissaient le contrat d’assurance, 18 février 1823, Ac.Ms123ter f°63. – Rapport sur la traduction d’un opuscule de Wieland par M. François de Neufchâteau, Ac.Ms123 ter f° 422. – Rapport sur Les Passions, poème du P. Brunoy, traduit par M. de Précy, 12 mars 1822, Ac.Ms123ter f° 3. – Rapport sur la demande d’admission de M. Servant de Sugny* au rang de correspondant, Ac.Ms123ter f°44. – Rapport sur les ouvrages de M. Quétard, Ac.Ms123ter f°54. – Rapport sur les titres de M. Bergeret, Ac.Ms123ter f° 56. – Rapport sur les Lettres Bourguignonnes et autres ouvrages de M. Amanton, Ac.Ms123ter f° 69. – Rapport sur l’admission de M. de Chesnel comme correspondant, Ac.Ms123 ter f°75. – Rapport sur les titres littéraires de M. Carbonel, 25 juin 1824, Ac.Ms123ter f°77. – Rapport sur les titres littéraires de M. Autran, de Marseille, Ac.Ms123ter f°299. – Rapport sur les titres d’admission de M. Justinien Rieussec*, Ac.Ms123ter f°148. – Rapport sur les titres d’admission de M. l’abbé La Bouderie, Ac.Ms123ter f° 150. – Rapport sur les titres d’admission de M. Villeneuve de Bargemon*, Ac.Ms123ter f°151. – Rapport sur la traduction de l’Art Poétique d’Horace par M. de Soubiras, 7 novembre 1822, Ac.Ms125bis f°93. – Rapport sur la traduction de l’Essai sur la critique de Pope par M. Trelis*, Ac.Ms125bis f°98. – Librairie de Lyon sous les Romains, Ac.Ms139 f°202. – Remarques grammaticales sur les noms des nouveaux poids et mesures, 4 février 1823, Ac.Ms153 f°181. – Rapport sur la Nouvelle méthode de syntaxe française de M. Darles, Ac.Ms153 f°185. – Document relatif à l’Histoire de l’Académie de Dumas, 19 janvier 1835, Ac.Ms270 f°123. – Document relatif à l’Histoire de l’Académie de Dumas, Ac.Ms270 f°160. – Avec Péricaud et Costes, Rapport sur M. Baux, auteur de l’Histoire de l’église de Brou, Ac.Ms279 II pièce 43. – Avec Grandperret et Boullée, Rapport sur la candidature de l’abbé Pager, 29 juillet 1834, Ac.Ms279 III pièce 8. – Avec Dumas et de Monthérot, Rapport sur les ouvrages de M. Guillaume, juge au Tribunal civil de Besançon, 26 janvier 1836, Ac.Ms279 III pièce 19.
La liste à peu près complète de ses ouvrages se trouve dans l’Histoire de l’académie de Lyon (1839), de Jean-Baptiste Dumas*. Toutefois, on peut retenir : Avec Péricaud, Ciceronia ou recueil des bons mots et apophtegmes de Ciceron, suivi d’anecdotes et de pensées tirées de ses ouvrages et précédé d’un abrégé de son histoire avec des notes, Lyon : Ballanche, 1812. – Discours prononcé le 17 mars 1823, sur la tombe de M. François Catherin Bernat, avocat du roi au Tribunal de première instance de Lyon, par M. Bréghot Du Lut, son collègue, s.l. : Pitrat, s.d. – Œuvres de Louïze Labé, lionnoize, Lyon : Durand et Perrin, 1824. – Notice bibliographique sur les éditions et sur les traductions françaises des œuvres de Cicéron, s.l., n.d. – Testament de Louise Labé, Lyon : Barret, 1825. – Avec Bonaventure Des Périers, Claude Nicolas Amanton et Jean Louis Antoine Coste, Ancienne fête de l’Ile-Barbe, [Lyon], [1825]. – Compte rendu des travaux de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon pendant le second semestre de 1825, lu dans la séance publique du 31 août 1825, Lyon : Barret, 1826. – Avec Péricaud, Songe de saint Jérôme, Lyon : Barret, 1826. – Notice sur J.-B. Poidebard, rédigée par M.C.B.D.L., des Académies de Lyon et Dijon, Lyon : Barret, 1826. – Avec N.F. Cochard* et L.F. Grognier*, Archives historiques et statistiques du département du Rhône, par trois des membres de la Commission de statistique de ce département, Lyon : Barret, 16 vol., 1825-1832. – Lettres lyonnaises, ou Correspondance sur divers points d’histoire et de littérature, Lyon : Barret, 1826. – Œuvres complètes de M. T. Cicéron, traduites en français avec le texte en regard, édition publiée par Jos.-Vixt. Le Clerc… (avec une notice bibliographique par C. Bréghot Du Lut et A. Péricaud), Paris : Werdet et Lequien fils, 1826-1827. – Épître à Mathon de la Cour, Lyon : Barret, 1827. – Notice sur l’abbé J.-N. Sudan, Lyon : Barret, 1827. – Notice sur l’abbé J.N.S., Lyon : Barret, 1827, 7 p. – Notice sur C. H. Morel-Voleine, Lyon : Barret, 1828, 17 p. ; d’autres éditions en anglais à Paris. – Avec A. Péricaud, Œuvres de Du Cerceau : contenant son théâtre et ses poésies, Paris : P. Beuf, 1828. – Avec A. Péricaud et Jean Louis Antoine Coste, Lettre sur un point d’histoire littéraire, de Lyon, le 18 septembre 1828, Lyon : Barret, 1828. – Notice sur la rue Belle-Cordière à Lyon, contenant quelques renseignements biographiques sur Louise Labé et Charles Bordes, Lyon : Barret, 1828. – Épigrammes choisies de Martial, Satire (livre II. sat. 1) et épître (livre I. ép. 18) d’Horace, imitées en vers français, par le P. Du Cerceau, avec des notes, Lyon, 1828. – Nouvelle petite Guerre, ou Lettres sur une traduction en vers de l’Art poétique d’Horace, Lyon : Barret, 1829. – Notice sur la bibliothèque de la ville de Lyon, AHSR, 1828, Lyon : Barret ; 2 tirages (l’un 16 p., l’autre 24 p.), réimprimée en 1834. – Dissertation sur l’usage de se faire porter la queue, pour répondre aux demandes qu’un chanoine, docteur de Paris, avait faites sur cet usage [de Claude François Ménestrier], Lyon, 1829. – Avec Jean Louis Antoine Coste, Étienne Claude Mestre et Jean-Marie Barret, Note pour servir au supplément au Commentaire sur les Œuvres de Louise Labé, Lyon : Barret, 1830. – Imitations de Martial, Lyon : Barret, 1830. – Nouveaux mélanges biographiques et littéraires pour servir à l’histoire de la ville de Lyon, Lyon : Barret, 1829-1831. – Avec A. Péricaud et Pierre Alexandre Gratet-Duplessis, Recueil faict au vray, de la Chevauchée de l’Asne, faict en la Ville de Lyon, et commencée le premier jour de moys de Septembre, mil cinq cens soixante six. (Recueil de la Chevauchee faicte en la Ville de Lyon: le dixseptiesme de Novembre 1578), Lyon, vers 1830. – Avec Péricaud, Recueil de la chevauchee faicte en la ville de Lyon le 17e de novembre 1578. Avec tout l’ordre tenu en icelle, Lyon : Barret, s.d. – Lettres de M. C. Bréghot du Lut [à M. Tezenas], Lettres écrites du 29 mars au 28 juillet 1826, Lyon, 1834. – Lettre : notes manuscrites, Lyon : chez les Libraires, 1834. – Avec 11 autres auteurs, Odes d’Anacréon, Paris : Crozet ; 1835. – Avec A. Péricaud, Nécrologue lyonnais 1826-1835, Lyon : Rusand, 1836. – Avec Jean Benoit Pélagaud, Louis Vesne, Victor Crozet, Jean Louis Antoine Coste, Clair Tisseur*, François Georges Cogordan, Dictionnaire des rues, places, passages, quais, ponts et ports de la ville de Lyon avec l’origine de leurs noms, Lyon : de Pélagaud, Lesne et Crozet, 1838. – Avec A. Péricaud, Notice topographique sur la ville de Lyon, suivie du nécrologue lyonnais de 1836 à 1837, Lyon : de Pélagaud, Lesne et Crozet, 1838. – Le Roi de la Basoche (De Petri Gauteri in pragmaticorum Lugdunensium Principem electum), poëme Latin inédit de P. Girinet ; traduit en Français, avec des notes, par C. Bréghot du Lut, Lyon : Périsse, 1838. – Avec d’autres, Entrée magnifique de Bacchus avec Madame Dimanche Grasse sa femme, faicte en la ville de Lyon, le 14 fébvrier 1627, Lyon : Boitel, 1838. – Avec A. Péricaud, Biographie lyonnaise. Catalogue des Lyonnais dignes de mémoire… publié par la Société littéraire de Lyon, Paris : Techener, Lyon : Giberton et Brun, 1839. – Formulaire fort récréatif de tous contracts, donations, testamens, codicilles et autres actes qui sont faicts & passés par devant notaires et tesmoings : faict par Bredin le Cocu, notaire royal et contre-roolleur des Basses-Marches au royaume d’Utopie... Par Benoît du Troncy. Nouvelle édition, collationnée sur les anciennes par C. Bréghot du Lut, Lyon : Dumoulin et Ronet, 1846. – Avec Jean Baptiste Montfalcon et A. Péricaud, Histoire de la ville de Lyon, Lyon : Guibert et Dorier ; Paris : Dumoulin, 1847. – Nouveaux Mélanges, Lyon : Perrin, 1850. – Catalogue de la Bibliothèque de feu M. Claude Bréghot du Lut, s.l., s.n., 1850. – Note sur un point d’histoire littéraire [sur J.-B. Lantin], Lyon : Barret, s.d. – Troncy (Benoît du). Biographie lyonnaise. Notice sur Benoît du Troncy, s.l., s.d. – Avec A. Péricaud, Note sur la question de savoir si les anciens connaissaient le contrat d’assurance, Montpellier : s.n., s.d. – Bibliographie. Lettre de M. le marquis César Alfieri, sur une des premières éditions de Marot, s.l., s.n., s.d. – Van-der-Kabel (Adrien), peintre et graveur, né à Riswych près de la Haye, en 1631 ; mort à Lyon, rue de la Gerbe, en 1705, d’après MM. Bréghot du Lut et Péricaud, en 1695 d’après le père Lelong et la Biographie universelle, s.l., s.d.
Il est intervenu à la Société littéraire de Lyon : Dissertation sur l’auteur du Panégyrique de Pison (11 mars 1813) – Notice sur les Florides d’Apulée (16 juin 1814). – Notice sur la vie et les ouvrages de Martial, destinée à la Biographie Universelle (9 février 1821, Gazette du 10). – Rapport sur la traduction française du Traité de l’épigramme, de Lessing, par M. T. de Thorigny (1er avril 1824).
Il a publié de nombreux articles dans La France littéraire de Quérard, et dans la Biographie universelle de Michaud, quelques articles dont celui de Martial.