Fleury François Richard naît à Lyon le 25 février 1777, fils de Jean-Baptiste Richard (Lyon, 28 mai 1728-2 décembre 1806) et de Marie Éléonore Ganin (Lyon 12 décembre 1745-11 janvier 1813), baptisé le même jour à l’église de Notre-Dame-de-la-Platière. Parrain : son oncle le négociant Fleury Richard (1731-1799) ; marraine : Françoise Giraud (1739-?), épouse de Jean-Baptiste Lacour (1714-1793), ancien échevin. La famille, dont le premier ancêtre connu Dominique Richard (ca 1650-1707) était aubergiste et marié à la fille d’un pâtissier, fait une rapide ascension sociale et ambitionne les charges anoblissantes. Le père du futur peintre achète un office de conseiller rapporteur du point d’honneur au tribunal des maréchaux de France, office qui lui donne le droit de porter l’épée. Du côté Ganin, on se flatte d’une parenté lointaine avec les sculpteurs Coysevox, Coustou et Chabry. Au sortir du collège, le jeune Fleury, qui manifeste depuis l’enfance des dispositions pour les arts, est envoyé à l’école de dessin de Lyon, dont son oncle Lacour est l’un des fondateurs et administrateurs. La profession de dessinateur en soie paraît la voie à suivre pour ce cadet de famille à qui il est tacitement demandé de s’effacer pour ne pas gêner la carrière et l’accès aux dignités supérieures promises à l’aîné. Vers 12 ou 13 ans, Fleury Richard entre donc dans la classe des premiers principes où enseigne son cousin, le peintre Alexis Grognard (1752-1840). De là, il passe dans celle de la fleur que suit également Pierre Révoil* (1776-1842), son alter ego et futur rival.
La chute de la ville, assiégée par les armées de la Convention, entraîne la fermeture de l’École de dessin. Richard suit le cours privé qu’Alexis Grognard organise à son domicile, avant de rejoindre son frère aîné à Paris, en mai 1794, où il reste jusqu’au mois de mai de l’année suivante, ayant trouvé à se loger dans la maison qu’habite le paysagiste Alexandre Hyacinthe Dunouy (1757-1847), chez qui il prend quelques leçons. Rentré à Lyon, il retrouve Révoil et fait la connaissance de Michel Grobon (1770-1853) dont il admire le talent original, né de l’étude du « beau métier » hollandais et d’une habitude de peindre sur le motif. L’été 1796 le ramène à Paris où l’attire sans doute la perspective de retrouver Révoil et, à son exemple, d’entrer dans l’atelier de Louis David. À l’automne de la même année, il y est admis à son tour sur la recommandation du Lyonnais Pierre-Toussaint Dechazelle (1752-1833) que David estime suffisamment pour lui faire, plus tard, une place dans son fameux tableau du Sacre de Napoléon. Richard passe l’année 1798 à Lyon où il réalise plusieurs portraits au crayon noir et à l’estompe, dans cette manière inspirée de l’aquatinte anglaise que Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) avait mise à la mode. Il quitte définitivement l’atelier de David en 1800, sans même tenter le prix de Rome, alors que l’y encourageait son maître qui avait perçu ses talents de coloriste. Dès lors, Richard partage un atelier avec Révoil dans l’ancien couvent des Feuillantines, rue Saint-Jacques. Il expose pour la première fois au Salon de l’an IX [1801] avec, notamment, un petit tableau à sujet historique, Sainte Blandine (localisation inconnue), auquel il donne pour décor l’escalier qui relie la crypte de l’église lyonnaise de Saint-Irénée et le calvaire situé au chevet. Au Salon de l’an X [1802], il connaît une gloire soudaine avec Valentine de Milan (localisation inconnue), tableau qui donne naissance au genre anecdotique, intermédiaire entre la peinture d’histoire et la peinture de genre, que on désignera plus tard sous le nom de Style troubadour. Le prénom de Valentine devient à la mode ; l’histoire de la veuve inconsolable de Louis d’Orléans inspire à Méhul (1763-1817) son dernier drame lyrique. Pour les Salons suivants, Richard exploite cette veine des intérieurs historiés (selon une appellation contemporaine), à la facture lisse et minutieuse qui donne à ces petits tableaux une apparence porcelainée. Le Style troubadour plaît aux amateurs de peinture hollandisante et séduit une clientèle, à la fois, aristocratique et féminine, qui ne se reconnaît pas dans les sujets héroïques de la peinture d’histoire. Les imitateurs se pressent en nombre, parmi lesquels l’opportuniste Révoil ; et Ingres (1780-1867) lui-même en vient à illustrer le genre. Devant ce succès public, Richard est probablement tenté par une carrière parisienne. Cependant, les épisodes dépressifs qu’il connaît le poussent à se réfugier à Lyon pour cacher sa maladie. Vers la fin du Consulat, il se fixe définitivement dans sa ville natale.
Laissant le champ libre à Révoil dans sa conquête du poste de professeur de peinture de la nouvelle école des Beaux-Arts, Richard s’adonne tout entier à son art, assuré qu’il est de vendre à fort bon prix ses tableaux. L’impératrice Joséphine qui, dès 1805, avait racheté Valentine de Milan, ainsi que son pendant, Charles VII prêt à partir pour aller combattre les Anglais (Salon de 1804 ; coll. part.), à la vente après décès du premier acquéreur, devient le mécène de Richard. En octobre 1808, elle l’invite à Malmaison pour lui offrir le brevet de peintre de l’Impératrice, mais la proposition reste sans suite, probablement en raison des griefs que Napoléon nourrit envers Richard qui, non content de se soustraire à l’invitation qui lui a été faite par Denon (1747-1825) de peindre des épisodes de la vie de l’Empereur, entretient des relations avec Germaine de Staël (1766-1817) et plusieurs de ses amis, comme Juliette Récamier (1777-1849). À l’exemple de leur mère, le prince Eugène et la reine Hortense collectionnent les œuvres du peintre. En 1809, Richard est admis dans la loge écossaise d’Isis. Au cours des deux années suivantes, il est nommé membre de l’académie de Turin (1810) et membre de la société pour l’avancement des arts de Genève (1811). Il habite rue des Augustins, dans la maison qu’il a héritée de son père et où il se fait aménager un atelier en 1811. En juillet 1813, il se rend à Aix-les-Bains, à l’invitation de la reine de Hollande pour réaliser le portrait que celle-ci lui a commandé et qui ne sera achevé et livré qu’en 1815 (Paris, Institut de France, Fondation Dosne-Thiers).
Au retour des Bourbon, en juin 1814, Richard est autorisé à porter la décoration du lys, « en témoignage de son attachement à la cause du Roi ». Le 14 décembre, il est nommé peintre de genre du comte d’Artois, frère de Louis XVIII. Une ordonnance royale à la date du 18 janvier 1815 lui confère la Légion d’honneur.
Le 27 octobre 1814, il épouse à Lyon Blanche Menut (Lyon 15 mars 1783-Écully 27 février 1855), fille naturelle de Marie Menut (Lyon 13 mai 1764-Rainans [Jura] 11 novembre 1835), demeurant à Auxonne (Côte-d’Or), qui a donné son consentement par procuration. Elle s’était remariée à Paris le 6 février 1794, avec un sieur Lanaud, architecte. Le père est un banquier ou négociant originaire de Vienne et se nomme Pierre Jacquier (Vienne 20 avril 1759-7 janvier 1831) ; bien qu’il ne l’ait pas reconnue (son nom n’apparaît pas dans l’acte), il a veillé sur l’éducation de Blanche Menut et lui a transmis une partie de sa fortune. Du reste, le 8 avril 1817, Pierre Jacquier signe la déclaration de naissance de Louis – le premier enfant de Fleury Richard et de sa fille, qui aura deux fils (d’où une nombreuse postérité) – ; sa sœur, Rosalie Pierrette Valentine, meurt à la naissance, le 19 août 1822.
Le 1er avril 1818, Richard est nommé professeur de la classe de peinture de l’école des Beaux-Arts de Lyon, en remplacement de Révoil, démissionnaire. Peu intéressé par l’enseignement, il peine à faire oublier les mérites de pédagogue de son prédécesseur. Néanmoins, l’un de ses élèves, Claudius Jacquand (1805-1878), est parvenu à une certaine notoriété. Le 30 juin 1819, Richard est du nombre des artistes et des érudits locaux qu’un arrêté préfectoral désigne pour former une commission chargée de rédiger la statistique monumentale du département du Rhône. Il est élu membre correspondant de l’Académie des Beaux-Arts, le 5 janvier 1822, ce qui consacre sa position de chef de l’école de Lyon. Pourtant, le 11 juin 1823, il doit se démettre de ses fonctions, à la suite des intrigues de Révoil pour réintégrer son ancien poste. Louis XVIII nomme Richard chevalier de l’ordre royal de Saint-Michel, par ordonnance du 24 juin 1824. Le peintre prend alors le titre de chevalier et se dessine des armes : d’argent à trois pinceaux de sable mis en pals au chef de gueules chargé d’un lion naissant d’argent (les couleurs de la ville de Lyon). Le 19 octobre 1826, Charles X lui accorde le titre de peintre ordinaire de Sa Chambre, titre purement honorifique car, pour des raisons de santé, Richard signe cette année-là son dernier tableau. En fait, à la faveur d’une rémission dans le cours de sa maladie, il reprendra ses pinceaux, en 1844, et achèvera Comminge et Adélaïde au couvent de La Trappe (MBAL), tableau entrepris vers 1822, et qui passera à peu près inaperçu au Salon de 1846. Le 15 juillet 1826, il est nommé membre de l’Académie d’Anvers. En 1834, ayant restitué à la ville son atelier du palais Saint-Pierre, Richard emménage à Écully dans l’ancienne propriété Rast qu’il a achetée et où il entreprend des travaux d’aménagement et de décoration. En 1845, il fait élever, en bordure de la future rue d’Algérie, un immeuble au décor sculpté évocateur des arts et dont il a demandé les plans à l’architecte Louis Gaspard Dupasquier (1800-1870). Il fait également sculpter sur la façade ses armes, timbrées d’un cimier et entourées du collier de Saint-Michel.
Le 14 mars 1852, Richard meurt dans sa maison d’Écully, où il s’était aménagé un atelier qui était un véritable musée personnel. Il a été inhumé à Écully.
Le 13 juillet 1800, Richard est nommé « émule » de l’Athénée de Lyon (diplôme conservé dans les Papiers de Fleury Richard, MBAL, inv.1988-4.VII.6). Le règlement de 1800 prévoit, outre des membres ordinaires et des associés-libres, quinze émules qui sont admis aux séances où ils ont voix consultative et qui doivent s’acquitter de deux tributs annuels. Dans le livret du Salon de 1801, Richard reprend ce titre d’émule de l’Athénée avec celui d’élève de David. En 1809, il est admis au rang des membres ordinaires. Président pour l’année 1821. Lorsque l’Académie quitte l’Hôtel-de-ville pour le palais Saint-Pierre, en 1824, Richard dessine le décor de la salle qui lui est affectée. Richard se sent à l’aise dans le milieu académique où les idées libérales ont tendance à dominer dans la décennie qui précède la Révolution de Juillet.
Le fonds d’atelier (mobilier, peintures, carnets, etc.) et les papiers de Fl. Richard sont conservés au musée des Beaux-Arts de Lyon (inv. 1988-4 ; inv. 2005-88 à 2005-94), dont les Souvenirs du peintre, toujours inédits (inv. 2005-88) [édition en préparation par G. Bruyère et P. Béghain].
ADR, Fonds Galle, Ms 88, f° 35-42, autobiographie de Fl. Richard, 1832. – Arch. nat., O/3/816 d. 6 et d. 70 (demande et admission dans l’Ordre de Saint-Michel). – Dumas, t. II, p. 109-111. – F.M. Fortis, Voyage pittoresque et historique à Lyon, aux environs et sur les rives de la Saône et du Rhône, Paris : Bossange frères, 1821-1822, t. 1, p. 426-428, 436-437. – E[rnest] Richard, « Une page de la vie lyonnaise sous le Premier Empire », RLY 19, 1895, p. 113-133, 221-238. – Marie-Claude Chaudonneret, Fleury Richard et Pierre Révoil : la peinture troubadour, Paris : Arthéna, 1980, 217 p., [36] f. de pl., 4 ill. coul., 301 ill. noir. – G. Bruyère, « Le fonds Richard au musée des beaux-arts de Lyon », Bull. des musées et monuments lyonnais 3, 1989, p. 4-71, fig. 1-54, ill. – M.-Cl. Chaudonneret, « Fleury Richard (1777-1852) ou L’Évocation d’un passé onirique, à propos de l’acquisition de trois peintures », Rev. du Louvre 2, 2002, p. 70-75, ill. – P. Béghain et G. Bruyère, Fleury Richard (1777-1852) : les pinceaux de la mélancolie, Lyon, EMCC, 2014, 384 p., ill. coul. – Eveline Deener, « Beetwen Dou and David : the importance of seventeenth-century Dutch art in troubadour painting in France, 1790-1830 », Simiolus 5, 2011, n° 3-4, p. 218-236, ill.
Fleury Richard, Autoportrait, 1796, peinture (MBAL). – Fl. Richard, Autoportrait, 1798, peinture (MBAL). – Clémence Sophie de Sermézy, Buste de Fl. Richard, 1810, plâtre teinté (MBAL). – Jean-Baptiste Chometon (1789-après 1832), d’après Césarine Darrieux (1779-1816), Portrait de Fl. Richard, eau-forte, avril 1812 (MBAL). – Fl. Richard, Autoportrait, lithographie, 1838 (MBAL). – Adélaïde Wagner (1825-1890), Portrait de Fl. Richard (buste), peinture, 1851 (coll. part.). – Adélaïde Wagner (1825-1890), Portrait de Fl. Richard (portrait en pied), peinture, 1852 (coll. part.).
Rapport sur le discours d’ouverture du cours d’anatomie de M. Trolliet, lu en 1811 (Ac.Ms159-344 f°226-227). – Rapport sur le Cénacle de Léonard de Vinci [ouvrage de l’abbé Aimé Guillon, dit Guillon de Montléon (1758-1842), dont l’auteur a fait hommage à l’Académie], lu en 1811 (Ac.Ms159-347 f°236-239). – Rapport sur une statue présentée par M. Legendre Héral à l’Académie de Lyon, lu en 1823 (Ac.Ms159-661661 f°387-390). – Vestiges d’un palais romain découvert à Nérac en 1833 (Ac.Ms285 f°38). – Lettres de Richard du 16 juillet 1809 (Ac.Ms275-II f°67) et du 25 novembre 1834 (Ac.Ms276 f°480). – Ac.Ms270 f°134 (notice et liste de ses tableaux communiqués à Dumas).
CR des travaux de l’académie royale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, pendant l’année 1821, Lyon : J. M. Barret, 1821, 43, 2 p. – « Joseph Jean Pascal Gay, architecte », AHSR 1, 1832, p. 310-318. – Dechazelle, RLY 2, 1851, p. 44-49. – Marius Granet, Ibidem, p. 49-52. – Michel Grobon, RLY, Ibidem, p. 52-56. – J.-J.-P. Gay, Ibidem, p. 128-135. – Alexis Grognard, Ibidem, p. 423-425. – Autobiographie, Ibidem, p. [244]-254. – Quelques réflexions sur l’enseignement de la peinture dans les villes de second ordre, RLY 4, 1852, p. 273-295.
Outre les les œuvres déjà signalées, et celles de la rubrique Iconographie, citons : La Mort de Constantin, 1799 (anc. coll. Dechazelle). – L’Impératrice Irène, rétablissant le culte des images et ordonnant la construction du temple de Sainte-Sophie, vers 1800 (anc. coll. Francoal). – Valentine de Milan, répétition autographe commandée par Eugène de Beauharnais, vers 1805 (musée de L’Ermitage, Saint-Pétersbourg). – Intérieur de la chapelle du Calvaire, vers 1801-1802 (anc. coll. Denon). – L’Atelier du peintre, Salon 1804 (coll. part., Londres). – Vert-Vert, Salon 1804 (musée des Beaux-Arts de Lyon [= MBAL]). – Charles VII prêt à partir pour aller combattre les Anglais, Salon 1804 (anc. coll. Impératrice Joséphine ; coll. part. Russie). – François Ier, Salon 1804 (musée Napoleon Thurgovie, Salenstein). – Les Adieux de Charles VII à Agnès Sorel, réplique du tableau du Salon 1804 (Rueil-Malmaison, musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau). – Mademoiselle de la Vallière surprise par Louis XIV, Salon 1806 (anc. coll. Suzanne Le Peletier de Saint-Fargeau, Mme Léon Le Peletier de Mortefontaine). – Madame de la Vallière, carmélite, esquisse, vers 1806 (musée Napoleon Thurgovie, Salenstein). – Madame de la Vallière, carmélite, 1805, Salon 1806 (musée Pouchkine, Moscou). – Henri IV (Les restes de Henri IV, exposés dans une des chapelles souterraines de Saint-Denis), vers 1806 (anc. coll. Suzanne Le Peletier de Saint-Fargeau, Mme Léon Le Peletier de Mortefontaine ; donné par elle en 1814 au roi Louis XVIII). – Jacques Molay, grand-maître des Templiers, 1806, Salon de 1806 (musée national du château de Malmaison, Rueil-Malmaison). – Portrait de Jean-Baptiste Richard (1728-1806), inachevé, vers 1806 (coll. part.). – Un Chevalier se préparant au combat, 1805, Salon de 1806 (MBAL). – La Déférence de Saint Louis pour sa mère, Salon de 1808 (musée Napoleon Thurgovie, Salenstein). – Marie Stuart, reine d’Écosse, Salon 1808 (anc. coll. Suzanne Le Peletier de Saint-Fargeau, Mme Léon Le Peletier de Mortefontaine). – L’Église d’Ainay (Bayard faisant bénir ses armes), Salon 1810 (anc. coll. Impératrice Joséphine ; non localisé). – La Mort de saint Paul, premier hermite [sic], Salon 1810 (musée Gassendi, Digne). – Vue du cimetière de Grignon, dans la vallée du Grésivaudan, Salon 1810 (offert par le peintre à Denon ; non localisé). – Gilblas chez le chanoine Sédillo, Salon de 1810 (anc. coll. reine Hortense ; non localisé). – Gabrielle d’Estrées, Salon de 1810 (vente New York, Parke Bernet, 1er mai 1965). – Henri IV et Gabrielle d’Estrées, vers 1810-1812, inachevé (MBAL). – Madame Élisabeth de France, sœur du Roi, 1816 (MBAL). – Madame Élisabeth de France, sœur du Roi, 1817, Salon de 1817 (musée national château de Versailles). – La Duchesse de Montmorency, Salon 1817 (non localisé). – Madame de la Vallière, 1816, Salon 1817 (vente, Rome, Finarte, 19 octobre 1989). – Tannegui du Châtel, Salon 1819 (Château de Fontainebleau, galerie de Diane). – L’Ermitage de Vaucouleurs, 1819, Salon 1819 (Louvre). – Intérieur de la chambre du chevalier Bayard, Salon 1819 (non localisé). – Galerie de cloître (ancien couvent des cordeliers de l’Observance, à Lyon), vers 1819 (MBAL). – Intérieur de couvent (ibidem), vers 1819-1824 (MBAL de Lyon). – Entrée de couvent (ibidem), vers 1819-1824 (MBAL). – Le Tasse et Montaigne, 1821, Salon 1822 (MBAL). – La Mort du prince de Talmont, Salon 1822 (non localisé). – La Mort du prince de Talmont, répétition du tableau du Salon 1822 (non localisé). – Le Petit Chaperon rouge, vers 1822-1823 (Louvre). – Étude du cloître de l’église Saint-Trophime d’Arles, vers 1822 (MBAL). – L’Autel de la Vierge, à Saint-Trophime d’Arles, vers 1822 (MBAL). – Étude du cloître de l’église Saint-Trophime d’Arles, vers 1822 (MBAL). – Dessinateur dans l’amphithéâtre de Nîmes, vers 1822 (coll. part., Londres.). – La Chartreuse de saint Bruno, 1822, Salon de 1824 (MBA Grenoble). – La Mort du prince de Talmont, 1823, répétition du tableau du Salon de 1822 (monastère de Brou, Bourg-en-Bresse). – Louis de la Trémoille, prince de Talmont, Salon de 1824 (coll. part.). – Jeune fille regardant des colombes, [vers 1824]-1825, sans doute le tableau du Salon de 1824 (MBAL). – La Hire recevant l’absolution d’un moine, [1824] (coll. part.). – La Mort Roméo et Juliette (Scène dans une chapelle ruinée), vers 1824 (MBAL). – Le Tombeau des Deux-Amants, vers 1828 (non localisé). – Religieuses accueillant un mendiant, 1826 (commande de Guillaume Ier, roi de Württemberg ; château d’Altshausen, coll. duc de Württemberg).