Dictionnaire historique des académiciens de Lyon

Préface
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La recherche est faite par sous chaîne, insensible à la casse et aux accents.

MONTHEROT François de (1784-1869)

par Dominique Saint-Pierre.

 Jean-Baptiste François Marie est né à Lyon le 9 mars 1784, et baptisé le 10 à Ainay, fils de Pierre de Montherot (Lyon 20 août 1757-Paris 28 février 1798) – chevalier, seigneur de Béligneux, Montferrand, Charnoz et autres places, garde du roi dans la compagnie écossaise, puis en 1778 conseiller au parlement de Bourgogne – et de Jeanne Claudine Louise Françoise Étiennette Grimod de Bénéon de Riverie (Lyon 10 septembre 1762-Curis-au-Mont-d’Or 7 septembre 1842). Parrain : Jean Baptiste de Lamartine, seigneur d’Hurigny, bisaïeul de l’enfant (1697-1789, officier au régiment de Villeroy, il était le père de Jeanne Sybille Philippine de Lamartine, mère de Pierre de Montherot), représenté par Jean Jacques Grimod de Bénéon (1733-1792) « chevalier, baron de Riverie, seigneur de St Didier, Saint-André, Saint-Jean-de-Choissans, et d’autre places, chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, lieutenant de MM. les maréchaux de France, juge du point d’honneur entre Gentilshommes du département de Lyon, aïeul maternel » – ; marraine : Marie Louise Dugas de Bois-Saint-Just, aïeule maternelle, représentée par Dlle Claudine Françoise Bénéon, tante maternelle.

 Par sa mère – fille de Marie Laurence Dugas de Bois-Saint-Just (née à Ainay 1740), dame de Bois-Saint-Just, fille elle-même de Louis Dugas d’Orliénas, et épouse de François Jean-Jacques Grimod de Bénéon –, il est l’arrière-arrière-petit-fils de Laurent Dugas* et de sa seconde épouse, Marie Anne Basset, et l’arrière-petit-neveu de François Dugas de Quinsonnas*.

 Sa famille émigre dès 1791. Il est élevé en Suisse et placé chez les prémontrés de Bellelay, près de Bienne (canton de Berne). Lors de l’invasion des troupes républicaines en 1792, élèves et professeurs fuient à Soleure. De retour à Bellelay en 1797, ils sont expropriés, le collège est détruit. Les élèves formés comme dans une école militaire sont désarmés. François de Montherot retourne à Soleure, puis en 1806 rentre en France, où il est surnuméraire aux archives des Relations extérieures. En 1810, il accompagne son beau-frère Xavier Olympe Huë de la Blanche (Charlieu [Loire] 1779-Tain-L’Hermitage [Drôme] 1848), époux de Jeanne Claudine de Montherot), nommé premier secrétaire d’ambassade en Autriche.

 Il épouse le 31 janvier 1813 à Dijon Jeanne Virginie Guenichot de Nogent, (Dijon 11 février 1794-Nogent-lès-Lombard [Côte-d’Or] 18 janvier 1818), fille de feu Pierre Jacques Barthélemy, conseiller au parlement de Dijon, décapité à Paris le 20 avril 1794, et de Jeanne Ligeret. Maire du petit village de Nogent-lès-Montbard de 1813 au 5 septembre 1830, il y possédait le château de Nogent, qui appartiendra aux Chatellus, descendants de sa fille Valentine, jusqu’en 2008.

 En secondes noces, il épouse à Mâcon le 14 mai 1821, sa petite cousine Marie Suzanne Clémentine de Lamartine (Milly [Saône-et-Loire] 12 septembre 1800-Mâcon 12 août 1824), fille de Pierre de Lamartine (Mâcon 1752-1840) et de Françoise Alix des Roys (Lyon 1766-Mâcon 1829), et sœur d’Alphonse de Lamartine. « Ma sœur a fini hier soir comme un ange, sans agonie et sans douleur, son angélique vie ; sa mort n’a été que son dernier soupir » (Lamartine, Correspondance). De son premier mariage, il avait eu Jeanne Louise Marie de Montherot (Dijon 18 janvier 1814-Lyon 27 mars 1876), épouse le 16 février 1832 de Gabriel Marie, dit Adolphe, Passerat de la Chapelle (Lyon 10 mars 1802-10 octobre 1876), propriétaire du château de la Rouge, maire de Pérouges de 1843 à 1848 ; et Jeanne André Valentine de Montherot, née à Dijon le 8 août 1816, épouse à Lyon le 10 janvier 1835 de Barthélémy Marie Ernest Guillet, comte de Chatellus. Très près de sa fille Louise, il achète le 15 mai 1833 à Joséphine Antoinette Aubry, veuve Duparc de Pugné, le château de Loyat et son domaine situé sur les communes de Charnoz et de Pérouges (vendu par licitation le 11 juin 1870 et qui sera acheté par les parents d’Adolphe Messimy). Il habitait aussi 11 rue Sala à Lyon.

 Nommé maire de Charnoz en 1840, élu en 1848, nommé le 15 juillet 1852, reconduit le 10 juin 1852, en août 1855 (22 000 F de revenus en 1855), 1860 et 1865, démissionnaire et remplacé par arrêté du 25 septembre 1867. Conseiller général des cantons de Meximieux et Chalamont (Ain) réunis, de 1845 à 1848.

 De son second mariage, il eut Jean Charles (Lyon 21 février 1822-Karlsruhe 1er février 1862, inhumé dans le « carré Blanc » de Faverges), secrétaire de légation à Londres, époux le 10 mars 1849 de Marguerite Sidoine Noémie Blanc, née à Faverges (Savoie), le 22 décembre 1829, fille de Nicolas Blanc, de Faverges, baron sénateur du royaume de Sardaigne, et de Marguerite Cléonne.

 Il est mort à Pérouges le 12 juillet 1869 chez son gendre Passerat de La Chapelle, au château de la Rouge, où il résidait depuis sa maladie. Témoins : ses deux gendres Passerat de La Chapelle et Chatellus. En réponse à une lettre de condoléances du président de l’Académie, Adolphe Passerat de la Chapelle répondit en donnant les derniers moments de son beau-père (séance du 3 août 1869).

 D’une grande culture, collectionneur de tableaux, amoureux des livres qu’il reliait parfois lui-même, très grand travailleur comme on le verra dans ses activités académiques, grand voyageur, passionné par la versification, il a surtout été remarqué pour ses Mémoires poétiques (1833). Il correspondait en vers avec son illustre beau-frère.

 O vous, vous, Montherot, qui passez votre vie

 À battre du papier ou de la peau de veau,

 À parcourir la France et par monts et par vaux.

 Sans que jamais la voix d’un commis de la poste

 Vous rappelle qu’il est l’heure d’être à son poste !

 Lamartine, Épître V, Libourne, 17 juillet 1827.

 Il a écrit aussi sous les pseudonymes de M. Boniface, Vasselier, ou le petit Balthazar.


Académie

Le 5 février 1833, le président Grandperret donne lecture d’une lettre de candidature de Montherot, accompagnée de plusieurs opuscules : À Messieurs de l’académie de Mâcon, Discours, Proclamation des élèves de sixième, À M. de L. à Florence, L’Enfant-roi, L’Espalier de roses, Polichinelle, Paganini, Promenade dans les Vosges, Le Pater. « Ces divers opuscules sont remis à M. Chapuys-Montlaville*, nommé commissaire pour les examiner ». Le 12 février, celui-ci rend un rapport favorable à son inscription sur la liste des candidats. Par une lettre datée du 2 mai, Montherot prie l’académie de rayer son nom de la liste des concurrents pour l’élection, attendu que lorsqu’il s’est mis sur les rangs il ignorait que M. Bonnefond* y fût, et de permettre qu’il se présente de nouveau quand surviendrait une vacance. Bonnefond sera élu le 7 mai, et Montherot le 3 décembre. Le 10 juin 1834, Montherot « lit un discours en vers qu’il doit prononcer pour sa réception dans la prochaine séance publique [25 juin 1834]. On connaissait le sujet de ce discours, qui est l’art et l’avantage de trouver le bonheur même dans d’innocentes manies. On a applaudi à des tableaux ingénieux groupés avec talent, et à des vers piquants, pleins de naturel et de facilité » (Discours de réception prononcé par M. de Montherot, le 25 juin 1834, Lyon : Rossary, 15 p.). Le 15 juillet 1834, « il communique des vers qui lui sont adressés par M. de Lamartine, son beau-frère, associé de l’Académie. Ces vers ont pour titre : Pensées en voyage. Ils portent la date d’octobre 1833, et sont écrits des rivages d’Orient que l’auteur parcourait alors. Par la forme et sur le fond, on trouve empreint le cachet des Méditations. Sur tous ses rapports, cette pièce ne pouvait qu’intéresser l’Académie ; mais ce qui en augmente le prix, c’est qu’on y trouve la promesse ou l’espérance d’une nouvelle production du poète dont le sujet ou le titre serait Trois nuits ou Trois paysages. Il faut hâter par des vœux le moment où le monde littéraire en obtiendra la jouissance. » Le 9 décembre 1834, il lit une pièce de vers de sa composition intitulée Un romancier du dix-neuvième siècle [Honoré de Balzac]. Le 10 mars 1835, il lit une pièce de vers intitulée Méthode pour donner de la ressemblance aux portraits (récit d’une anecdote de la vie de Frédéric Ier, roi de Prusse, qu’il lira encore le 3 mai 1836). Le 17 mars 1835, il rend compte de la pièce Élisa Mercœur, envoyée par Mme Nelly Dénoix (avis défavorable, l’académie arrête qu’elle n’accepte point la dédicace de cette pièce, offerte au nom de Mme Denoix). Le 30 juin et le 25 décembre 1835, il lit une pièce de vers de sa composition intitulée À propos de Bottes, épître philosophique adressée à Eugène Sue. Le 12 janvier 1836, il distribue des exemplaires de deux pièces de vers, intitulées À propos de cette épître philosophique à Eugène Sue, et Le Grand Canard. Le 8 mars 1836, il donne un opuscule qu’il vient de livrer à l’impression : Promenades dans les Alpes et le Jura. Conseils aux voyageurs à pied (18 itinéraires). Le 29 décembre 1836, il lit des vers sur Les causes de l’athéisme de Lalande et de ses erreurs en astronomie. Le 24 janvier 1837, il fait hommage d’une pièce imprimée, de sa composition : Une vitre cassée. Quiproquo à une exposition de tableaux (extr. Revue du Lyonnais, Lyon : Boitel, 1840, 7 p.). Le 14 mars 1837, il communique un fragment de son Voyage en Orient. Le 30 mai 1837, il fait hommage à l’Académie d’un cahier contenant des fragments de son Voyage au Bosphore. Le 11 juillet 1837, il lit un fragment de voyage qu’il a fait l’année dernière sur le Phocéen [description de l’île de Majorque]. Le 14 novembre 1837, il offre à l’Académie et à ses membres des exemplaires de deux feuilles d’impression qu’il vient de publier : Fragment d’un voyage au Bosphore, et Majorque. En décembre 1837, il lit Profession de foi d’un candidat à la députation, en vers. Le 13 mars 1838, il dépose dans le portefeuille et offre aux académiciens un exemplaire d’un ouvrage qu’il a publié sous le titre d’Études sur Hudibras, poème de Samuel Butler, 1612-1680 (Lyon : Rossary, 1838, 48 p.). L’auteur fait lecture de la préface et de plusieurs fragments. Le 19 février 1939, il fait un rapport écrit sur la thèse pour le doctorat soutenue par M. Ozanam et ayant pour objet La philosophie de Dante. Le 5 mars 1839, il communique un nouveau fragment de son Voyage en Orient. Le 9 avril 1839, il fait lecture de l’Éloge historique de M. Cartier* (ancien chirurgien-major de l’Hôtel-Dieu), qu’il vient de terminer et destiné à la prochaine séance publique du 14 mars (Lyon : Barret, 1839, 24 p.). Le 10 décembre 1839, il fait lecture d’un fragment historique d’un voyage qu’il a fait naguère dans la Corse (Promenades en Corse, Paris : Maison, 1840, XIV + 116 p.). Le 29 décembre 1840, il lit une pièce en vers. Le 25 janvier 1842, il fait un rapport sur la traduction de Perse par M. A. Desportes [Satires de Perse traduites en vers par Auguste Desportes, Paris : L. Hachette, 1841, 287 p.]. Le 16 novembre 1843, il lit un fragment d’un opuscule en vers. Le 16 janvier 1844, il fait un rapport sur le poème du prince Elim de Mestscherski, intitulé Artemonne Matvéief. Le 18 avril 1844, il fait un rapport verbal sur la Reine des Fées, par M. Jules Canonge. Le 21 mai 1844, il lit une ballade satirique et facétieuse : Les Chemins de Fer. Le 7 janvier 1845, il fait un rapport écrit sur l’ouvrage de Jules Canonge : Notice historique sur la ville de Baux-de-Provence. Le 15 avril 1845, il fait un rapport verbal sur l’ouvrage intitulé Poèmes lyriques et dramatiques, par M. Pezzani, avocat à Lyon. Le 6 mai 1845, il lit sa Promenade dans les Alpes. Vallée d’Anzasca et de Macugnaga. Mont Rose, (MEM L, 1845). Le 24 juin 1845, il fait un rapport écrit sur la nouvelle édition de la Philosophie de Dante, par Frédéric Ozanam (élu membre associé le 1er juillet sur proposition de Montherot). Le 9 décembre 1845, il fait un rapport verbal sur les poésies de Mme Vannoz, associée de l’Académie. Le 13 janvier 1846, il communique une lettre de son fils Charles de Montherot, datée du Caire, qui contient des renseignements intéressants sur l’aspect de la ville, les mœurs et usages des habitants, et rend compte du premier volume des œuvres poétiques de M. Bignan. Le 3 mars 1846, il lit une pièce de vers intitulée La jeune fille électrique. Le 12 mai 1846, il rapporte sur la candidature de Servan de Sugny*. Le 26 mai 1846, il présente un volume relié par lui-même et contenant divers règlements et projets de règlement qui ont été, à diverses époques, discutés, rejetés et approuvés par l’Académie. Ce volume contient trois épitres publiées par M. de Montherot sous le pseudonyme de feu Vasselier, à propos des discussions réglementaires (Révision des règlements, troisième et dernière lettre de Joseph Vasselier à MM. de l’Académie, Lyon : de Barret, 1846, 20 p.). Le 16 juin 1846, il communique une pièce de vers, intitulée Les Deux Portraits. Le 15 décembre 1846, il rend compte de la nouvelle de Jules Canonge intitulée Hugone, et termine par une tirade de vers de sa composition, inspirés par la comparaison des deux plus célèbres romanciers de notre temps, autrefois rivaux de talent, aujourd’hui rivaux de fécondité. Le 13 avril 1847, il fait un rapport sur les titres de Mme Fanny Denoix qui a demandé à être nommée membre correspondant. Le 11 avril 1848, il fait un rapport sur un volume des Mémoires de l’Académie de Toulouse. Le 9 mai 1848, à propos d’une discussion sur le maintien de la statue équestre de Louis XIV, il dépose la copie d’une lettre qu’il vient d’adresser à Martin Bernard, commissaire-général du gouvernement, pour le prier de demander, par le télégraphe, l’appui du gouvernement provisoire en faveur de la conservation du monument lyonnais sur la place ; il ajoute que, pour écrire cette lettre, il s’est prévalu de sa qualité de beau-frère de Lamartine. Le 23 janvier 1849, il présente un rapport verbal sur l’ouvrage imprimé par les soins de M. [Nicolas] Yéméniz (le père d’Eugène Yemeniz*) et intitulé De Antiquitatibus masticonensibus. Il dit que la première édition de cet ouvrage ayant été entachée de quelques erreurs typographiques, M. Yéméniz en a fait mettre tous les exemplaires au pilon. Le 18 juin 1850, il lit une pièce de vers intitulée Lette de feu M. Joseph Vasselier à MM de l’Académie de Lyon. Le 1er avril 1851, il fait une critique littéraire en vers de deux bas-reliefs sur l’empereur Petricus. Le 7 mars 1854, il lit une Lettre sur la statistique à Valentin-Smith* (Lyon : Vingtrinier, 1854, 15 p.). Le 24 avril 1855, il communique une pièce de vers, La paire de bas. Le 8 août 1856, il lit une pièce de vers de M. Camille Doucet. Le 13 juin 1855, il lit De la longévité humaine, au sujet du livre de M. Flourens sous ce titre, auquel il ajoute : De la quantité de vie sur le globe. Lettre à M. de Polinière (MEM L, 1854, et Lyon : Dumoulin, 1855, 14 p.). Le 16 décembre, il annonce la découverte d’un nouveau manuscrit d’Artaud (musée lapidaire). Le 17 mars 1857, il fait part de documents inédits sur la révolution de Suède en 1772 (MEM L, 1857-1858 ; et Documents inédits sur la révolution de Suède en 1772 et sur les changements opérés dans le gouvernement par Gustave III, d’après les dépêches du Cte de Vergennes, ministre de France à Stockholm, en 1772, Lyon : Vingtrinier, 1857, 21 p.). Le 7 août 1860, il étudie quelques néologismes. Président élu le 13 novembre 1842 pour le premier semestre 1843. En 1948, il occupe le fauteuil 4, section 1 Lettres. Il est émérite le 2 décembre 1856.

Membre de la Société des sciences, arts et lettres de Mâcon en 1829, membre de l’académie royale de cette ville en 1932, membre correspondant le 9 juillet 1834. Membre de la Société historique, archéologique et littéraire de Lyon en 1833, qu’il quitta en 1847 car il reprochait à cette société d’avoir patronné des œuvres de patriotes italiens.

Bibliographie

M. Juilleron, « Lamartine, Montherot et Brillat-Savarin », Le Bugey, n° 42, 1955. – D. Saint-Pierre, Dict. Ain. – Correspondance d’Alphonse de Lamartine. Suppléments (1811-1866), textes réunis, classés et annotés par Chr. Croisille, Paris : Honoré Champion, 2007, 608 p. – E. Révérend du Mesnil, « F. de Montherot et sa famille », RLY 8, 1869, p. 218.

Iconographie

Une croix du bourg de Charnoz, haute de 4,35 m, porte l’inscription : « Mission 1864. Érigée par F. de Montherot maire ». Il a également offert une statue en fonte de la Vierge située derrière l’église, outre une autre statue en pierre blanche ensevelie dans un éboulement.

Œuvres

Outre les ouvrages cités plus haut et divers articles dans RLY, citons : Hortense, ou l’École des inconstants, vaudeville en 2 actes et en prose, par MM. de Saint-Félix et de Montherot..., [Paris, Vaudeville, 7 septembre 1806], Paris : Barba, 1806, 44 p. – [D’après Barbier], Le Pater, anecdote. Le Mariage du chantre, scènes historiques, Lyon : Barret, 1929, 16 p. – Pétition à la Chambre des Députés sur deux points importants. Janvier 1829, Lyon : Barret, 1929, 7 p. – Les Deux barques sur le lac du Bourget, Lyon : Barret, [1830], 7 p. – La Tête et les membres, Paris et les départements, Lyon : Chambet, 1831, 15 p. – Le Turbot, anecdote, Lyon : Rossary, 1831, 8 p. – Le Vingtième d’un sou, épisodes d’un voyage d’un savant député [Charles Dupin], Lyon : Rossary, s.d., 8 p. – Petit discours sur la petite émeute de la place Vendôme. Mai 1831, Lyon : Barret, 1831, 8 p. – Rapport à l’Académie de Beaune sur l’aurore boréale du 7 janvier 1831, Lyon : Rossary, 1831, 4 p. – Paganini, variations poétiques, Lyon : Rossary, 1831, 12 p. – Tableaux politiques, Lyon : Perrin, 1832, 8 p. – Offrandes aux saint-simoniens, Le nain mystérieux, proverbe dramatique, par le petit Balthazar, ex-travailleur du culte, Lyon : Chambet, 1832, 32 p. – Mémoires poétiques, événements contemporains, voyages, facéties, Paris : J. Techener, 1833, XII + 288 p. – À MM. les membres de la Société littéraire, extr. Revue du Lyonnais, Lyon : Boitel, [27 décembre 1839], 4 p. – Chemin de fer de Lyon à Genève : résumé de la question, motifs en faveur du tracé de l’Ain, Bourg-en-Bresse : Milliet-Bottier, 1845, 15 p. – Mémoires des contemporains, mémoires d’un tailleur. Prospectus, Lyon : Rossary, s.d., 4 p. – Le Pape et la papesse, anecdote, s.l., n.d., 7 p.