Dictionnaire historique des académiciens de Lyon

Préface
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La recherche est faite par sous chaîne, insensible à la casse et aux accents.

GERMAIN de MONTAUZAN Camille (1862-1942).

par Jean Burdy.

  Camille François Marie Joseph Germain de Montauzan est né à Saint-Étienne le 2 décembre 1862, 22 rue de la Loire, troisième fils des huit enfants de Philippe Antoine Étienne Germain de Montauzan, notaire à Saint-Étienne (1818-1880), et de Louise Marie Claire Gibert de Chazotte (1825-1887). Son patronyme vient de l’acquisition en 1745 par son arrière-grand-père Philippe Germain (1746-1811), bourgeois de Lyon et échevin de Villefranche, du domaine de Montauzan, à Lacenas en Beaujolais (le château est encore aujourd’hui propriété d’un Germain de Montauzan).

  Il n’a pas dix-huit ans à la mort de son père. Ses études, commencées à Saint-Étienne, se poursuivent à Paris à l’École Sainte-Geneviève puis à l’École des Mines, d’où il sort avec le diplôme d’ingénieur civil en 1886. Il s’engage alors pour dix ans dans une carrière industrielle, aux Aciéries de la Marine à Saint-Chamond, puis dans une entreprise d’hydraulique agricole en Algérie, enfin à la Compagnie parisienne du Gaz jusqu’en 1896.

  Marié à Lacenas le 21 octobre 1893 à sa cousine germaine Amélie Odette Marie (Lacenas 27 mars 1869-Lyon 10 janvier 1925), il en a quatre enfants : une fille d’où sont issus, aux États-Unis, enfants et petits-enfants, et trois fils sans postérité.

  Mais l’industrie n’est pas de son goût et, attiré par la culture classique, il entreprend à trente ans des études littéraires et historiques. Une licence ès lettres en 1893 et l’agrégation en 1900 le conduisent au professorat dans l’enseignement secondaire public, au lycée de Mont-de-Marsan en 1899, puis au lycée de Saint-Étienne.

  Sollicité par les comités libéraux, il se présente sous l’étiquette de « candidat de l’ordre et de la liberté » aux élections législatives de mai 1906 dans la 1re circonscription de Saint-Étienne (cantons de Saint-Étienne Nord-Est et Saint-Chamond). Sincère et convaincu, il s’adresse aux électeurs « C’est avec l’unique ambition de servir vos intérêts et ceux du pays que je me présente à vos suffrages. J’ai toujours professé les véritables principes républicains dont l’Université s’honore d’être la gardienne: Vérité et Raison, Liberté, Égalité, Fraternité, Loyauté, Patriotisme. Principes méconnus et méprisés par les hommes au pouvoir, principes auxquels il est temps de revenir. Je suis avec ceux qui veulent assurer l’avenir des travailleurs, enrayer les dépenses excessives de l’État, favoriser les entreprises privées, rendre au pays sa force par l’union, la concorde et la tolérance ». Son adversaire est Aristide Briand, ministre de l’Instruction publique, député sortant, qui est réélu au premier tour. Une expérience sans lendemain pour Germain de Montauzan.

  Professeur à Saint-Étienne, il s’attelle alors à une thèse d’archéologie sur Les aqueducs antiques de Lyon. Pour sa préparation il a bénéficié d’une mission en Italie et en Tunisie pour y étudier des aqueducs antiques. Son copieux rapport apprend qu’il a quitté Saint-Étienne le 5 novembre 1906, s’est arrêté à Fréjus, est resté à Rome du 11 novembre au 5 décembre, a gagné la Tunisie d’où il est rentré le 31 décembre. Ses compétences scientifiques lui permettent de dominer les aspects techniques de son sujet, les aqueducs romains de Lyon, et sa double formation le replace parfaitement dans le cadre de la civilisation romaine. La thèse, soutenue en Sorbonne et publiée en 1908, présente deux volets ; le premier, Essai sur la science et l’art de l’ingénieur aux premiers siècles de l’Empire romain, thèse complémentaire (difficile à trouver), a été distingué par l’Association pour l’Encouragement des Études Grecques ; la thèse principale, Les aqueducs antiques de Lyon. Étude comparée d’archéologie romaine, est l’ouvrage magistral. En six chapitres, après un aperçu historique et la description du réseau des aqueducs lyonnais, il traite à fond les problèmes de technique, de construction, d’organisation, d’administration et de législation relatifs à l’alimentation en eau de Lugdunum, et plus généralement d’une ville antique. Son ouvrage, couronné par l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, et qui a reçu en 1909 de l’Académie de Lyon 2 500 francs de la Fondation Jean-Chazière, lui vaut une renommée internationale. Sa vie prend une orientation nouvelle et définitive.

  Chargé de cours à la faculté des lettres de Lyon, le nouveau docteur sera nommé professeur adjoint d’Antiquités lyonnaises en 1914, professeur titulaire d’Antiquités nationales en 1923. Il se consacre à l’université, à l’enseignement et à la recherche, tout en donnant des leçons publiques sur le Lyon gallo-romain, leçons très appréciées, transformées en un Cours d’Antiquités lyonnaises ouvert avec l’appui du conseil municipal de Lyon et du conseil général du Rhône. Sa Leçon d’ouverture a été publiée dans le Bulletin des Amis de l’Université en 1911.

  Les années 1911-1914 connurent une intense activité archéologique à Lyon, avec trois campagnes de fouilles à Fourvière dirigées par Germain de Montauzan et Philippe Fabia, subventionnées entre autres par l’Académie (Ac. Rapports, 1912-1914, p. 265). Les rapports détaillés en ont été publiés dans les Annales de l’Université de Lyon, et de copieux résumés dans la Revue d’Histoire de Lyon. Les vestiges romains visibles à Lyon en 1911 étaient rares. À Fourvière, des murs ont été dégagés à Jésus-Marie, à la Paix, au Calvaire. Les deux fouilles principales, au Verbe-Incarné, ont révélé une luxueuse domus ornée de belles mosaïques, dont celle de Bacchus est devenue une pièce majeure du musée. Ces premières fouilles étaient riches de promesses. En 1912 les deux sites explorés ont livré des pavés de marbres, des murs stuqués et peints, une remarquable mosaïque en noir et blanc figurant une chasse aux Minimes, et à Jésus-Marie une série de trois bassins communicants. Preuve était apportée que « dès la fondation de Lugdunum et jusqu’au milieu, pour le moins, du iiie siècle, toute la colline fut habitée ». Trois sites ont été fouillés en 1913-1914 : rue des Quatre-Vents, le Calvaire où a été exhumée une belle mosaïque polychrome, et le Verbe-Incarné avec deux nouvelles grandes mosaïques à caissons dans la somptueuse demeure bordant la voie d’Aquitaine.

  Pendant la guerre Germain de Montauzan est administrateur d’un hôpital municipal, installé au pensionnat de jeunes filles du 50 rue des Maisons-Neuves à Villeurbanne. 1925 est pour lui une année malheureuse qui voit le décès de son épouse et la mort de son fils aîné Maurice tué sous les drapeaux au Maroc.

  Les fouilles reprennent en 1924, jusqu’en 1933. Les blocs polygonaux de la voie d’Aquitaine ont revu le jour rue du Juge-de-Paix. Deux pièces en gradins d’une maison à portique, et de nombreux marbres sculptés ont été retrouvés dans les jardins du Rosaire, à l’aplomb du forum écroulé en 840. Les résultats ont été plus modestes au lycée de Saint-Just, au-dessus du théâtre, et à la Sarra. Germain de Montauzan, en faisant le bilan de ces fouilles, annonce la fondation avec Ph. Fabia de l’Association Lyonnaise de Recherches Archéologiques, avec l’espoir de l’acquisition par la ville du clos Lafon pour élucider la question de l’amphithéâtre des Martyrs.

  Entre temps, fin septembre 1928, un congé de deux mois lui avait été accordé pour une série de conférences organisées par l’Alliance Française aux États-Unis, où il a traité de son enseignement à la Faculté, et de deux sujets bien différents : Glozel, et Les femmes dans l’entourage de La Fontaine et de ses fables.

  Son intérêt pour la littérature et la poésie s’est manifesté par des lectures publiques et par diverses interventions, telle sa présentation de Mme Jean Bach-Sisley le 18 mai 1931 à la Société Les Petites Conférences ; mieux encore par les présidences du Salon des Poètes et de la Société des Lamartiniens de Lyon et du Sud-Est, avec sa participation à Mâcon aux fêtes du Centenaire du Romantisme.

  Nommé chevalier de la Légion d’honneur le 12 août 1930 en qualité de professeur de la faculté des lettres de Lyon, il est reçu par son frère Camille Charles Régis Étienne, avocat, ancien bâtonnier de Saint-Étienne. Admis à la retraite en 1933, il se remarie l’année suivante, le 16 juillet 1934 à Lyon 2e, avec Odette Purally (1907-1994) qui lui donne une fille, Camille.

  En 1935 il emmène en visite le 98e Congrès archéologique de France au pont-siphon de Beaunant, et à Chaponost au Plat-de-l’Air. Cette même année il présente Les galeries souterraines de la colline de Fourvière au CTHS.

  Il s’éteint le 22 avril 1942 à Lyon 2e, 57 rue Franklin où il habitait depuis quarante ans. Le 25 avril à l’église Sainte-Croix, rue de Condé, le doyen de la faculté des lettres Charles Dugas*, et le président de l’Académie M. Lannois* (MEM XXIV, 1942, p. 193-196) ont retracé sa carrière, rappelé l’importance de ses travaux et souligné la noblesse de son caractère. « C’était un plaisir de faire avec Germain de Montauzan une promenade archéologique. Courtois et bienveillant, évitant jusqu’à l’ombre du pédantisme, curieux de tous les ouvrages de l’esprit, c’était sur tous les sujets un causeur charmant, et un humaniste accompli » (R. Baguenaut de Puchesse, Association lyonnaise de Recherches archéologiques, 1943). Il a été inhumé à Loyasse (concession trentenaire).


Académie

Le 3 janvier 1918 « M. Camille Germain de Montauzan, demande d’être accepté comme candidat au siège devenu vacant par la mort de Félix Desvernay* dans la Section Littérature-Éloquence-Poésie-Philologie de la Classe des Belles-Lettres et Arts [fauteuil 3, section 1 Lettres] ». Il n’y avait pas de fauteuil libre dans la Section Histoire et Antiquités. Le 4 juin il obtient 26 voix contre 9 bulletins blancs au premier tour de scrutin, il est élu au second tour par 28 suffrages contre 7 bulletins blancs. Admis en séance le 11 juin, il remercie le président. Il dépose le 26 novembre 1918 le sujet de son discours de réception : « Les Perses » d’Eschyle et le désastre allemand de 1918, qui sera prononcé en séance publique le 18 mai 1920 ; au lendemain de la guerre, il évoque la victoire des Grecs sur les Perses à Salamine, mettant en parallèle Guillaume II et Xerxès, la Marne et le Xanthe, les péripéties et les aboutissements des deux guerres. Germain de Montauzan promet d’apporter son concours actif à l’Académie. Il tient parole. En vingt-deux ans il participe à près de quatre cents séances. Il est rapporteur à maintes reprises pour les Prix de diverses fondations, Girod-Boué (1922), Coquet (1922, 1923), des concours du Comité de la Journée des Mères de Lyon (1924), des Jeux Floraux de la Comtesse Mathilde (1926, 1928, 1929, 1931 à 1935, 1937 à 1939), et Philippe Isaac ou du 7e fils (1932) : Rapports (Fondations, Concours…) 1909-1912 (49-53), 1912-1914 (244-247), 1919-1923 (255-256, 293-298), 1924-1926 (45-49, 125-127, 304-305). Il fait une communication chaque année, sur des questions en rapport avec l’Antiquité à Lyon et dans la région, et sur des sujets variés montrant l’étendue de sa culture : Les Antiquités de Charlieu, 9 mars 1920 ; Les premiers évocateurs du Vieux Lyon, 25 janvier 1921 ; La persécution de Septime Sévère et le martyre de saint Irénée, 14 février 1922 ; Les premiers temps du christianisme à Lyon, 16 janvier 1923 ; Découvertes de silex préhistoriques à Lacenas, 5 février 1924 ; La religion des Druides et du Gui sacré, 13 avril 1926 ; Un mémoire manuscrit de M. L.B. Morel, d’Anse : Considérations sur la défaite des Tigurins et le passage de la Saône par les Helvètes, 7 décembre 1926 ; Jules Janin, 1804-1874, 17 mai 1927 ; Un tuyau de plomb romain marqué L.F. (Lugdunum fecit), 5 juin 1928 ; Impression sur les États-Unis, 8 janvier 1929 ; Le monastère de Sainte-Croix à Poitiers, 1930. Président en 1931, Germain de Montauzan reçoit quatre nouveaux confrères, dont Victor Grignard*, et prononcera les éloges funèbres des académiciens Émile Jullien*, qui avait été son examinateur à la licence, et René Koehler*. En décembre il fera le compte rendu détaillé des travaux de l’année en évoquant L’Art poétique d’Horace : « Debemur morti nos nostraque (“Nous sommes voués à la mort, nous et nos œuvres”) » ; il ajoute que ce n’est pas entièrement vrai pour celles-ci, rappelant la phrase d’Alphonse de Boissieu* dans la préface de ses Inscriptions antiques de Lyon (1846) : « Les monuments périssent, les écrits restent » (MEM 21, 1933, p. 131-154).

Remerciant l’Assemblée de sa courtoisie et de sa libéralité, Germain de Montauzan transmet la présidence au Professeur Cadéac*, en émettant le vœu que l’Académie fasse mieux connaître ses travaux, de valeur incontestable, et « qu’elle reste fidèle à ses vieilles traditions d’honneur, de dignité, de simplicité, de bon sens, de bon goût et de vertu ; qu’elle marche, demain comme hier, le cap tourné et inflexiblement dirigé vers le vrai, les yeux levés vers le beau et le cœur battant pour le bien ». Il peut alors reprendre son activité ordinaire marquée par ses communications annuelles : La prononciation du latin, 7 juin 1932. – Les galeries souterraines de la colline de Fourvière, 14 mai 1935. – Les Béguins de Saint-Jean-Bonnefonds, 31 mars 1936. – Une lettre de Pie IX à Lamartine, 15 juin 1937. – Les fouilles de Fourvière, 20 février 1934, 15 janvier 1935 et 13 avril 1937. Ajoutons que, hors de l’Académie, les lectures publiques qu’il assurait d’année en année étaient hautement appréciées d’un auditoire nombreux et fidèle. Le 20 juin 1939, il lance un cri d’alarme : l’orthographe, le vocabulaire et la grammaire de la plus belle des langues sont détruits par l’école et la radio.

Il est élu le 20 décembre 1935 correspondant de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, où en 1932 déjà Adrien Blanchet avait lu une note de sa part sur la Découverte d’une sépulture sur la colline de Saint-Irénée à Lyon.

Bibliographie

Alfred Ernout, « Éloge funèbre de Germain de Montauzan », CRAI, 1942, p. 138-140. – J. Burdy, « La longue histoire de la recherche sur les aqueducs romains de Lyon », MEM 1993 [1994], p. 164. – J. Burdy, « Germain de Montauzan, 1862-1942 », L’Araire 133, été 2003, p. 4-30. - J. Burdy, « Camille Germain de Montauzan, 1862-1942, archéologue et académicien lyonnais », MEM 2008 [2009], p. 76-83.

Publications

« Rapport sur une mission scientifique en Italie et en Tunisie », Nouvelles archives des missions scientifiques 15, fasc. II, p. 71-123, Paris 1907. – Essai sur la science et l’art de l’ingénieur aux premiers siècles de l’Empire romain, Paris : E. Leroux, 1908, XVIII + 122 p. – Les aqueducs antiques de Lyon. Étude comparée d’archéologie romaine. Paris : E. Leroux, 1908, 437 p. – « Les Aqueducs romains de Lyon », RLY 8, 1909, p. 106-133. – « Du Forum à l’Amphithéâtre de Fourvière ; les Martyrs de l’an 177 », RLY 9, 1910, p. 321-362. – Avec Ph. Fabia, « Épitaphe gallo-romaine récemment découverte à Saint-Just », RLY 11, 1912, p. 66-67. – Avec Ph. Fabia, « Dédicace d’un autel romain récemment découvert à Lyon », RLY 12, 1913, p. 53-57. – « Le mouvement commercial en Gaule avant la fondation de Lyon », Bull. de la Société des Amis de l’Université de Lyon, avril 1910, p. 151-163. – « Leçon d’ouverture du Cours d’antiquités lyonnaises », Bull. de la Société des Amis de l’Université de Lyon, avril-mai 1911, 13 p. – « Les Fouilles de Fourvière en 1911 », AUL 25, 1912, 103 p. – « Les Fouilles de Fourvière en 1912 », AUL 28, 1913, 94 p. – « Les Fouilles de Fourvière en 1913-1914 », AUL 30, 1915, 108 p. – « Les Antiquités de Charlieu », CR Annuel de la Société des Amis des Arts de Charlieu, 16 p. – « L’Antiquité, dans A. Kleinclausz, L’Art à Lyon et dans la région lyonnaise, Société des Études locales dans l’Enseignement public (Section lyonnaise), II, Lyon, 1914, p. 5-32. – « La Foire d’échantillons, L’effort économique de Lyon pendant la guerre », Lyon : Comité de la Foire de Lyon, 1918, 206 p. – « Les premiers évocateurs du vieux Lyon, Collection des Amis du Vieux Lyon, Lyon : Cumin et Masson, 1920, 105 p. – « Les Perses d’Eschyle et le désastre allemand de 1918 », MEM 1921, p. 175-193. – « Les premiers successeurs de Saint-Irénée. Faustin et la crise novatienne à Lyon », Bull. historique du diocèse de Lyon, janvier 1922, p. 1-6. – « Saint-Eucher, évêque de Lyon, Bull. historique du diocèse de Lyon, avril 1923, p. 81-96. – « Le confluent du Rhône et de la Saône à l’époque romaine », Rev. des Études Anciennes 26, 1924, p. 235-242. – « Fourvière et Saint-Just », dans A. Kleinclausz, Lyon des origines à nos jours. La formation de la cité, Lyon : Masson, 1925, p. 67-94. – Avec Ph. Fabia, « Rapport sur les fouilles de Fourvière en 1924 », CRAI 1925, p. 119-124 ; en 1925, CRAI, 1926, p. 140-145 ; en 1926-27, CRAI, 1927, p. 236-243 ; « Note sur un nouveau milliaire du compendium de Lyon à Vienne », CRAI, 1930, p. 120-123 et 142 ; idem en 1931, CRAI, 1932, p. 397-400. – « Fouilles de la montée de Fourvière (1933) », CRAI, 1933, p. 422-430. – « Les fouilles archéologiques de la Sarra de 1928 à 1930 », ALRA, 1931, p. 5-10. – « Fouilles de la montée de Fourvière (juillet septembre 1933) », ALRA, 1933, p. 12-20. - « Henri Bertrand, Président de l’A.L.R.A. », ALRA, 1934, p. 7-9. – « La mosaïque “Aux Colombes” de la Faculté des Lettres », ALRA, 1934, p. 9-13. – « Le Professeur Fabia », ALRA, 1942, p. 6-9. – « La vie de François Rabelais, par Jean Plattard », compte rendu de lecture, Rev. de l’Université de Lyon, 1929, p. 294-300. – « La vie à Vienne à l’époque gallo-romaine », Bull. de la Société des Amis de Vienne, 1925-1926, p. 14-19. – « Les fouilles archéologiques de Fourvière à Lyon, depuis la guerre », Bull. de l’Ass. G.-Budé, juillet 1931, p. 11-24, RLY 4, décembre 1932, p. 147-158. – « Présentation de Jean Bach-Sisley » (à la conférence Tony-Tollet), Société Les Petites Conférences, 18 mai 1931, Lyon : Masson, 1931, p. 5-7. – « Aqueducs de Chaponost », Congrès archéologique de France, 98e session, Lyon et Mâcon, 1935, p. 50-53. – « Licinus, procurateur des Gaules. L’histoire et la légende », Rev. historique 175, Paris, 1935, 9 p. – « Saint-Just, évêque de Lyon et moine de la Thébaïde », Amitiés Foréziennes, Saint-Étienne, s.d., 12 p. – « Les béguins et le “petit bon dieu” de Saint-Jean-Bonnefonds (Loire) », Rev. du folklore français et du folklore colonial, 3, mai-juin 1936, p. 121-127. – « Les galeries souterraines de la colline de Fourvière, CTHS Bull. Archéologique, Paris, 1936-1937, p. 539-546. – « Préface » à : Quelques poètes foréziens contemporains, Saint-Étienne : Michel Rameaud, 1937. – « L’Antiquité », in A. Kleinclausz, Histoire de Lyon, t. I, Lyon, 1939, p. 1-65. – « Chaponost », Syndicat d’Initiative de Chaponost, Programme, 18 juin 1939.

Cette notice a été révisée.