Lyon et les débuts de l'aéronautique : quelques documents
Le comte de Laurencin (1740-1812) tient dans sa main le manuscrit de l'«Épître aux mânes de ma mère», dont il vient de régaler ses confrères de l'Athénée en ventôse an X : « Ô ma meilleure amie! ô digne et tendre mère! Depuis l'heure où mes mains ont fermé tes paupières…»
Les fondateurs. De gauche à droite : Villeroy, Perrichon, Brossette et Falconnet